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Hygiène féminine et les dangers des produits

Bonjour la compagnie,

 

Récemment, je surfais sur internet pour tenter de trouver l’inspiration.

J’ai voulu vous partager un sujet, qui je l’espère, vous intéressera, car pour ma part, l’information que je vais vous soumettre m’a laissé sur les fesses.

Je suis sûr que vous en avez déjà entendu parler, mais est-ce qu’il est possible d’en savoir plus.

Vous le savez toutes et tous, la gente féminine, dans la majeure partie des cas, à ses fameuses « règles » chaque mois, aussi communément appelé « ragningnin » ou « les anglais ont débarqués »

reg

 

Et pour ne pas se retrouver à l’époque du moyen age, où il n’y avait pas toutes les protections hygiéniques que l’on connaît de nos journées ♥ des chercheurs nous ont concocté de petites pépites de protections nous permettant de continuer nos activités sans en avoir partout (c’est glam hein..)…

Donc dans un sens, on pourrait leur décerner une médaille,

médaille

car franchement on a bien évolué par rapport au passé.

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Désormais, on a tous ceci à notre disposition (tampons, serviettes jetables, et lavables et  j’en passe)

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Mais bon voilà, les règles féminines sont communes à toutes et pourtant, ces « protections » ne sont pourtant pas reconnu comme des produits de première nécessité.

Alors que pourtant c’est le cas … qu’en pensez-vous ? Vous arriveriez à vous balader dans la rue, ou aller au travail sans une protection entre les jambes durant vos règles ?

Laisseriez-vous couler le sang entre vos jambes comme ça ?? Sérieux se serait … heurkkk.

règles

Mais voilà, ces protections, dont on a impérativement besoin chaque mois de l’année… et bien, elles ne sont pas donnés, non de non, bien au contraire, on les paie !! et pas qu’un peu !!

Le prix de nos protections périodiques  peut varier du simple au double. Alors quand on peut s’en acheter, tant mieux !! mais celles qui n’ont pas les moyens ?

comment font-elles ? les femmes SDF … comment font-elles ?

Dit moi en commentaire, se que vous feriez vous  si vous ne pourriez pas acheter de protection hygiénique.

 

Mais ce que j’ai lu me fait peur !!! 

Certaines de ces protections comportent des produits toxiques.

Moi qui voulais décerner une médaille aux fabricants, je suis en train de me raviser.

En effet, la DGCCRF, qui signifie (Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes) ont analysé un échantillonnage de produits représentatifs du marché.

toxic sign

Des tests approfondis ont été menés en laboratoire afin de détecter la présence éventuelle de traces d’allergènes, de conservateurs, de formaldéhyde, de résidus de pesticides, de glyphosate (herbicide) et de l’un de ces principaux produits de dégradation (l’AMPA), d’hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAPs[1]), de phtalates, de dioxines et de furanes (produits polluants organiques) et enfin de composés organiques halogénés extractibles et absorbables (AOX/EOX[2]).

Sources provenant du site de la « dgccrf »

Quels sont les produits analysés ?

Parmi les 27 références de produits figurent :

  • 6 tampons : 1 en nom de marque distributeur et 5 en nom de marque fabricant dont 1 parfumé (dont 2 revendiquent une fabrication « bio ») ;
  • 9 serviettes hygiéniques : 4 en nom de marque distributeur ainsi que 5 en nom de marque (dont 1 parfumée et 2 « bio ») ;
  • 7 protège-slips : 3 en nom de marque dont 1 parfumé et 4 en nom de marque distributeur (dont 2 parfumés) ;
  • 5 coupes menstruelles : 4 en silicone et 1 en élastomère thermoplastique.

 

Je reste étonnée par les faits suivants : 

Les analyses réalisées ont mis en évidence des traces de substances chimiques dans :

  • Les tampons : des traces de dioxines, de furanes et d’EOX ont été retrouvées sur les 6 références de tampons. Un seul contenait une trace d’AOX et un autre de phtalate (à un seuil non quantifiable[3]).
  • Les serviettes hygiéniques : des traces d’HAPs ont été détectées dans 6 références (dont 5 non quantifiables). Une serviette contenait des traces de phtalate à un seuil non quantifiable également et une serviette « bio » portait des traces d’AMPA.
  • Les protège-slips : des traces d’HAPs ont été observées dans 4 protège-slips (dont 2 non quantifiables). Une référence (parfumée) contenait des traces d’un allergène (le lilial) et une autre (non parfumée), d’un résidu de pesticide (le lindane) interdit en France.

 

Ce qui est ironique s’est lorsqu’ils écrivent : « Aucun danger grave et immédiat détecté sur les produits étudiés »

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A mon sens, les fameux produits soit disant non dangereux, ont quand même des traces de produits toxiques, on les met sur la peau, pire encore, en nous avec les tampax, et ils trouvent ça normal ???

Tt au final, voilà ce que dit le site
[L’enquête de la DGCCRF confirme ainsi la présence, à l’état de traces, de certains résidus chimiques. Pour autant, aucun danger grave et immédiat n’a été détecté sur les produits étudiés. La composition des produits d’hygiène féminine reste partiellement indiquée sur l’emballage. La mise en garde sur le SCT apparait sur l’intégralité des boites de tampons et leur notice. Au regard des conclusions rendues par l’ANSES, la DGCCRF mettra en œuvre les suites nécessaires.]

 

Est-ce que je suis la seule à trouvé ça fort de café ??? on nous prend pour quoi ….

Et dans 10 ans on nous dira « ha mince ses produits soit disant non dangereux, provoque le cancer de je ne sais quoi !!!

 

Qu’en pensez-vous ?? sérieux ??