Alimentaire, Bon à savoir

Quand on pense à ce que l’on mange ça fait peur.

Quand on pense à ce que l’on mange ça fait peur.

 

Équilibrer son assiette et éviter la pollution, pas si simple au fond.

5 fruits et légumes par jours

On nous dit de manger 5 fruits et légumes par jours ok …
mais il faut malgré tous faire attention….

Car pour les produits « frais », ils disent qu’il est important de bien les laver pour retirer les pesticides et autre substances dangereuses pouvant se trouver dessus.


Pour les aliments en boîtes, types conservent, certains disent « oui, d’autres disent attention.
Car elles peuvent contenir des éléments polluants, des additifs plus ou moins dangereux pour la santé car consommé à grande quantité se serait risqué pour notre organisme.

 Les poissons oui mais pas trop

On aurait tendance à penser qu’en consommant des poissons, cela serait bon pour notre organisme.
Ce fut d’ailleurs le cas à l’époque, où l’on pouvait en consommé chaque jour, il y a bien longtemps de cela bien sûr
Sauf que de nos jours, ce n’est plus le cas …. Au contraire, il est conseillé de ne consommé du poisson que 2 à 3 fois maximums par semaines…


Pourquoi ?
Pour la faire courte (car si j’entre dans les détails, vous allez fuir) la cause serait les agents polluants, (types méthyl mercure, plombs, or etcc) et en gros plus le poisson est « gros » plus le risque est grand.
Car les poissons d’élevages sont parfois (voir souvent) nourri avec des grains où il y aurait des produits pas toujours très clean et quant aux poissons sauvages, eux ils seraient pollués par tout ce que l’on déverse dans les océans.

Au final, on pense manger sain en mangeant du poisson, mais là encore il faut limiter sa consommation, car on ingurgite des polluants de toutes sorte et à forte doses cela peut avoir des conséquences sur notre organisme.

Si vous voulez plus de détail, je vous mets un lien ICI 
et un autre ici

Les viandes même scénario

En ce qui concerne les viandes, en gros, il y a les viandes « rouges » (ex : le bœuf, le veau, le porc, l’agneau, le mouton, le cheval et la chèvre) et les « blanches » (ex : poulet, veau etc.).

Et bien là aussi, il faut faire attention… surtout aux viandes dites transformés. Une viande transformée par salaison, maturation, fermentation, fumaison ou d’autres processus mis en œuvre pour rehausser sa saveur ou améliorer sa conservation (car ce type de viande en contiendrait en fait plusieurs).

Il faudrait limiter notre consommation de viande rouge, et viande transformés pour diverses raisons, car en plus, elles pourraient nous provoquer un cancer…

Oui je sais rien de rassurant là-dedans … c’est l’OMS qui le dit ICI

Au Final, les recommandations, serait de ne pas manger plus de 500 grammes de viande rouge par semaine.

On se tue nous-même.

Quand j’entends tout cela, je me dis, houa la vache, mais il faut faire attention à tout, c’est affolant.

Et encore, là je n’ai parlé que des viandes et légumes…

Je suis certaine que si je creuse un peu, je vais trouver des trucs sur les œufs ….

Ha et les produits que l’on adore tous « chocolat, bonbons, friandise, gâteaux etcc  » et bien quand on y regarde de plus près, ils sont tous bourré d’additifs et autre substances étranges…. mauvaise pour la santé.

QUE FAIRE > LES OPTIONS

A- Vérifier tout ce que l’on mange.

Je me souviens que cet été, j’ai téléchargé sur mon mobile l’application Yuka

C’est une application mobile et vous pouvez scanner vos produits et analyse leur impact sur la santé. En un clin d’œil, il déchiffre pour vous les étiquettes : vous visualisez les produits qui sont bons et ceux qu’il vaut mieux éviter.

Lorsque vous scannez un produit pour lequel l’évaluation est négative, l’application Yuka vous recommande un produit équivalent meilleur pour la santé. Bien sûr, ces recommandations sont faites de façon totalement indépendante.

Ce que j’ai pensé de l’application Yuka

Si l’on veut vraiment faire hyper attention à ce que l’on mange, c’est une option sympa, mais parfois, il faut faire la part des choses, genre, vous allez scanner du sucre ou de l’huile, l’application va dire « attention mauvais en rouge » trop de graisse ou trop de sucre, sauf que c’est logique, c’est de l’huile et du sucre.
Bon nombre de produits que j’ai scanné vont vous proposer des produits similaire mais « Bio » (après le portefeuille en prends un coup aussi)…

Ce que j’ai pu réaliser, c’est que dans la grande majorité des produits, il y a des « additifs » parfois inconnu… alors on se dit, je vais prendre autre chose, mais au final il y en a toujours.

Perso, j’en venais à tellement psychoter quand je faisais mes achats à tous scanner et que rien n’étaient vraiment « bon » qu’à force, j’ai arrêté de l’utiliser, ça me rendait dingue

B – Vivre sans abuser de tous

Je me suis dits que de toute manière à l’époque actuelle, tout est pollué, les aliments sont transformés et bourrés d’additifs pour la longue conservation.
Que même si la France et les directives sanitaires sont assez costauds car elle fait quand même très attention aux produits que l’on consomme…
Il n’en reste pas moins que désormais la vie c’est « production intensive, profit à gogo » et le consommateur, plus il rapporte de l’argent aux entreprises mieux s’est.

Même si on voudrait faire attention, je pense que c’est impossible, car il faudrait revenir au temps où l’on plante soit même ses légumes (encore faut-il que votre sol soit saint) et élever des poules et animaux pour en consommer…. sauf qu’avec la vie active de nos jours, je me vois mal « travailler » et ensuite gérer mon potager, une ferme etc.

Alors j’essaye de varier mon alimentation, me faire plaisir sans abus et tenter de ne pas me rendre dingue.

Et vous qu’en pensez-vous de tout ça ?? Comment procédez-vous ???

5 réflexions au sujet de “Quand on pense à ce que l’on mange ça fait peur.”

  1. Coucou Myriaime,

    C’est effectivement un sujet préoccupant ! Je m’intéresse beaucoup à l’alimentation car mon corps a tendance à réagir très vite aux aliments…
    Je suis intolérante au lactose, alors je ne consomme que très rarement cette catégorie d’aliments.
    Ensuite, il y a quelques années, je suis devenue végétarienne. Plus pour la condition animale que pour ma santé. Je pensais alors que les produits dit « veggie » et de remplacement n’étaient pas néfastes. Qu’ils étaient étudiés pour être plus sain. Que nenni ! Il y autant de poisons à l’intérieur ! J’ai donc quasiment abandonné les substituts. Je pourrai les faire moi-même, mais je n’aime pas passer trop de temps dans ma cuisine ^^

    Ensuite, il y a la question du bio, qui suivant les labels n’ont pas la même correspondance et tolérance. Le bio a vouloir être souple avec la législation ne voudra plus rien dire dans quelques temps, si ce n’est pas déjà le cas.
    Une situation qui m’a choquée. Je connais très bien une éleveuse bio de bovins. Une de ses vaches était malade. Après un traitement (je crois au huiles essentielles), elle était toujours malade. Elle a fini isolée du reste, sans pouvoir être soignée chimiquement car en bio, c’est interdit. J’ai trouvé ça triste d’un côté, car elle a fini seule dans le bout du champ. Bien sûr, l’éleveuse s’occupe bien de ses animaux et les conditions de vie sont plus acceptables en bio. Mais je sais que je m’interroge toujours sur cette façon de faire.
    Quant aux labels AOP, le combat du camembert est d’actualité et en est la parfaite illustration. Là encore ce label s’il intègre les entreprises industrielles dans le processus n’aura plus aucun sens. Déjà qu’il n’en a plus beaucoup !

    J’ai aussi téléchargé Yuka. Tout comme toi, j’y ai découvert des notations arbitraires… Enfin, des non-sens ! Comment donner la même note à un pot de pâte à tartiner au chocolat très connue et la même note à un paquet d’amandes ou d’huile de noisettes brute par exemple ?
    En réalité, je ne sais pas s’ils ont la même note mais je me souviens d’un paquet de pommes de terre plus mal noté qu’un paquet de biscuits transformés… Ça en dit long à mes yeux. J’ai donc désinstallé dans la foulée.

    Je me suis ainsi posée deux minutes en pleine méditation consciente ah ah ^^

    J’ai ainsi décidé de bannir au maximum les aliments transformés et de toujours privilégier les aliments bruts et crus de préférences. La nature étant bien faite. Il est vrai que je dois cuisiner plus, mais appréciant les choses simples, ça me prend rarement longtemps.
    Je mange principalement des fruits, légumes et légumineuses, bios et parfois non bios (tout dépend de mon épicerie car j’ai aussi banni au maximum les supermarchés au profit du local et de l’artisanat), des céréales et des oeufs. J’ai planté des arbres fruitiers et des plants au jardin pour pouvoir me nourrir. Soyons honnête, il me faut encore attendre quelques saisons pour les fruits mais je profite déjà de baies, herbes, rhubarbe et autres, en permaculture. Je fais sécher mes herbes pour les infusions… Je récolte aussi des plantes sauvages. Lol, j’ai un mode de vie qui fait parfois sourire au mieux, mais je ne regrette pas mon changement de vie.
    Pour ce que je ne suis pas en mesure de produire, par manque de temps ou d’absence de savoir-faire, je me tourne vers mon primeur. Ce qui en prime, fait vivre le commerce local. C’est un peu plus cher certes, mais je m’y retrouve au final. Mes fruits et légumes ont une saveur exceptionnelle. Ce qui fait que j’en consomme moins. Et à voir le prix de certains aliments en grandes surfaces, notamment les produits ultra transformés, je m’y retrouve (le prix au kilo est permet de mieux se rendre compte de l’arnaque de certains produits). Et ma santé aussi, ce qui n’est pas si mal.
    Mon mari râlait parfois car je suis assez inflexible là-dessus et que notre porte-monnaie ne nous permet pas l’extravagance. Nous avons donc fait un comparatif et même si mes produits coûtent assez chers, je suis quand même gagnante hi hi. En achetant de saison et local, l’économie est bien au rendez-vous. De plus, il a repris les compétitions sportives depuis l’année dernière et manger sain est une condition sine qua non.

    Je crois qu’il y a des choix à faire. Des questions à se poser. Il faut dire que depuis que je sais que les produits de consommation et les produits pharmaceutiques sont détenus par les mêmes familles, je préfère y regarder à deux fois. Je me dis toujours que pour pouvoir vendre des médicaments, il faut bien des malades… Et quand on voit certains scandales sanitaires, il y a de quoi s’interroger.
    La nourriture est le principal carburant du corps. S’il est bien nourri, il y a moins de risque qu’il tombe malade. Et plus de chance qu’il se remette en cas de maladies. C’est ce que je pense. C’est pourquoi, je ne néglige plus mon corps (oui, il a longtemps été négligé).

    Ce qui me choque le plus, ce sont les personnes qui me disent « manger sain, ça coûte cher ! Je n’ai pas les moyens ! » mais qui n’hésitent pas à dépenser leur argent dans du tabac, de l’alcool ou le dernier portable à la mode. Alors bien sûr, chacun voit midi à sa porte, mais je trouve ça un peu fort du café de me rétorquer ça (oui, c’est du vécu lol). Ou dernièrement, « va expliquer aux enfants qu’il ne faut pas se jeter sur la nourriture car ça coûte cher et qu’il faut apprécier ». Hum, c’est simplement de l’éducation, et s’ils ont du goût, ils en mangeront moins. Pour moi, c’est une excuse. Lorsque j’étais enfant, on mangeait bien mais simple. Pas de bifteck tous les jours, loin de là. J’appréciais et comprenais que nous ne vivions pas sur l’or, mais je n’ai à mon sens manqué de rien.
    Si on veut que ça change, il faut forcément se remettre en question à un moment donné. On peut mieux manger. 100% parfait n’existe pas. Mais on peut mieux faire globalement.

    Euh, il va falloir que j’apprenne à synthétiser lorsque je passe sur ton blog 😀 Excuse-moi, mais je trouve que tu as toujours d’excellents sujets à traiter… Merci de m’avoir lu jusqu’au bout 😉

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  2. Hello ma Myriaime ! Heureuse de lire un nouvel article et d’autant plus, sur un sujet hyper actuel et bien détaillé 🙂 Tu as bien raison de souligner ce genre de problèmes… Je pense la même chose que toi. On devrait faire tellement attention à tout et d’autant plus quand on entend qu’il faudrait même se préoccuper des fruits et légumes. C’est d’autant plus triste lorsque l’on sait toutes les bonnes choses que contiennent les peaux des aliments. Et je ne parle pas du bio, véritable « mode » qui coûte un bras. J’avais également un application me permettant de scanner la nourriture mais au final, j’ai préféré la désinstaller. Chaque produit n’étais jamais assez bien ou pour des aliments type huile, cela n’avait pas de sens. Pour ma part, j’évite principalement les plats préparés, consomme avec modération la viande, poisson et sucreries et je me porte très bien 🙂 On se pose peut-être aussi trop de questions aujourd’hui, avec tout ce qu’on lit et on voit… Je me réjouis de te relire. Bises, Déborah.

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    1. Hello ma belle Déborah, je suis ravie que mon article t’ai plu.
      J’en avais fait deux autres juste avant (les as-tu lu ?) ils sont plus centré sur un lourd vécu, qui je pense et aussi l’un des cause de mon « silence »….

      J’essaie de re ecrire des articles, sans me préoccuper du « quand dira-t-on » et des « dates », je poste selon mon ressentie et c’est plus plaisant.

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      1. Oh mince, je ne me souviens pas si je les ai vu passer ou non, je vais aller farfouiller un peu !

        Et tu as bien raison, on a toujours plus envie d’écrire lorsqu’on ne réfléchi pas à ce que vont penser les autres sur ce qu’on a envie de publier. J’espère que tu continueras à publier 🙂

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