beauté

Comment stopper les prélèvements de la licorne beauté

Si comme moi vous avez reçu un message privé vous invitant à cliquer sur un lien et transmettre les coordonnées de certaines amies pour recevoir une carte cadeaux gratuite de 39 euros.

Au final on vous dit de payer les frais de livraison….

Si après ça, vous avez accepté de payer les frais en question.

FELICITATION vous avez « accepté » l’abonnement mensuel de chez La licorne Beauté.

Vous souhaitez une solution ? Vous voulez stopper les prélèvements ? Obtenir le remboursement… Je vous explique tout.

Vous avez reçu un message privé

Je vous en ai parlé dans mon précédent article nommé : coffret gratuit payant attention avec la licorne beaute.

Il s’avère que dans les conditions de chez La Licorne Beauté,  le fait de cliquer sur ce bouton « payer » vaut autorisation de prélèvement sur carte bancaire au profit de «La Licorne Beauté».

Oui, je sais, cela est énervant.

Plusieurs possibilités s’offre à vous.

Les joindre par téléphone :

Le service client du «Site» peut être joint par téléphone au 0644632277, les jours ouvrés de 9h00 à 16h00.

Les contacter par mail :

La demande de réparation / remplacement doit être envoyée à «La Licorne Beauté» par email à l’adresse suivante help@lalicornebeaute.fr.

Contacter un conciliateur gratuit en cas de litige :

Vous pouvez contacter un médiateur, ici La licorne Beauté propose > « medicys« 

Sinon, vous pouvez vous rendre dans l’un des bureaux de conciliateurs de justices proposé gratuitement par les services publics : >> ICI

Quel est votre histoire.

En fonction de votre situation et si vous le voulez, je tenterais de me renseigner au mieux pour vous aider.

J’espère que les informations qui figure dans cet article pourront aussi vous permettre de stopper vos prélèvements.

N’hésitez pas à me mettre un retour de votre situation en commentaire, cela pourra aider bon nombre de personnes.

Bon plan

Organisateur de repas

ORGANISONS NOS REPAS 

Qui n’a jamais eu envie de rentrer chez soi après une dure journée de travail et de juste poser les pieds sous la table et se voir servir un bon repas. 

Je ne sais pas pour vous mesdames, mais il semblerait que cette délicate attention n’est réserver qu’à une petite poignet de femme et que la majorité des hommes ont cette distinction. 

Si vous voulez, nous débattrons du pourquoi du comment les femmes sont encore de nos jours considéré comme celle qui doit tout faire à la maison. 

Aujourd’hui, si je vous propose un organisateur de repas, c’est pour que vous puissiez avoir un visuel sur la semaine. 

Sincèrement combien de fois, il m’arrive de me poser la question quelques heures avant le repas “que vais-je préparer ?” et regarder mon frigo et mes placards, dans l’espoir qu’ils vont me donner de l’inspiration. 

Sérieusement, vous ? Ça ne vous est jamais arrivé ? 

Photo de cottonbro sur Pexels.com

Pour bien organiser ses repas de la semaine. 

Dans un premier temps, regardez ce qu’il reste dans le frigo et les placards, puis noter le. 

Ensuite, réfléchissez à quelque repas que vous pourriez faire avec. 

Puis, trouver l’inspiration des quelques repas restant à faire et compléter votre liste de courses. 

Vous avez la liste des repas, les ingrédients dont vous avez besoins. Vous êtes parait pour faire les courses, donc soit sur place, soit au drive, soit en livraison. 

(pas besoin d’un million d’étapes pour ça, il faut surtout prendre un peu de temps et de motivation). 

Voici un petit guide que je vous ai créé pour, je l’espère vous faciliter la réalisation des repas de la semaine. 
les gens devenus des consommateurs
Blogging divers

Pourquoi ce nom de blog

Je me présente sous le nom de Madame Ditout.

Pourquoi un tel pseudo ? car il me semblait que s’est ce qui se rapproché le mieux de ce que j’étais.

En effet, dans la vie de tout les jours, même si selon la personne à qui je parle, j’y mets les formes, je dis les choses.

Je n’aime pas l’hypocrisie et le mensonges.

Ce sont mes deux bêtes noir. Je déteste ça. A mon sens, lorsqu’un personne se permet de me mentir, je n’arrive plus à avoir confiance, car j’aurais toujours dans un coin de ma tête qu’elle est capable de mentir, d’ailleurs on l’est tous. Après, selon notre choix, on ment ou pas.

J’ai en horreur, lorsqu’on essaie de me rouler, se payer ma tête. Je déteste qu’on prenne les gens pour des pigeons, je déteste les arnaques.

Aussi, je vais dire une phrase qui va en faire rire certains.

Il faut savoir que je suis une femme et j’ai vécu 4 décennies. Durants les 2 decennies précédentes j’ai vu et entendu tant de choses, j’ai commis des erreurs, rencontré de dur epreuves. Certains m’ont permis de grandit, d’apprendre ; d’autre mon brisés et mise à terre.

Malgré ça, je me suis relevée. Plus forte peu être, mais j’ai tenue bon.

La vie et les gens semblent être à 360 degré différente d’avant.

Désormais, les gens ne sont plus Mr ou Me toutlemonde, mais des consommateurs.

Tout passe par un besoin incondicionnelle de consommation d’achats, de matériel.

D’ailleurs, la plus grosse vague fut très recente, on a jamais vu autant consommation que durant la periode du confinement.

C’est là que je me suis rendu compte que désormais, ma majeur partie des êtres humains pensent à eux, s’est genre « marche ou crève » « chacun pour soit et dieu pour tous.

Majoritairement, les gens sont devenus matérialiste.

Ainsi, lorsqu’on achete quelque chose, on veut que tout soit parfait, sinon on se rue chez les vendeurs faire un scandal.

La civilité, le cyvisme en soit semble avoir laissé place aux clients rois.

D’un autre côté, certains groupes prennent les gens pour des pigeons.

Certes les gens, pour certains, sont devenus mauvais, hargneux. Mais dans autres côtes, les groupes multinationale, les x sociétés prennent parfois les gens pour des babaches, comme dirait l’autres). Ils se servent de l’incrédulité de certaines personnes, de la naiveté d’autres pour s’enrichir.

Heureusement l’homme, le consommateur, le client a des droits.

Pour avoir cottoyer divers secteurs d’activités, je me suis rendu compte au file des années, que nous ne connaissions pas assez nos droits mais aussi nos obligations.

Que parfois, un simple petit éléments peu faire la différence.

Par exemple, lorsqu’on signe un contrat, un simple case à cochet, peu tout changer.

J’ai décidé d’en parler avec vous, moi Madame Ditout, pour vous éviter les embrouilles.

On a tous enormement de préoccupation. On vit tous à cent à l’heure. On ne prend plus le temps de vivre, comme un tourbillon pret à nous engloutir.

Et si nous faisons une pause, pour parler de tout ça.

Rendez-vous les mardi, jeudi et dimanches à midi pour des nouvelles enrichissantes

Belle journée à vous.

Madame Ditout.

Un peu de moi

Perdu en chemin après du harcèlement moral

Salut à tous,

Cela fait bien longtemps que je souhaite vous mettre cet article, mais je ne savais pas réellement par où commencer. Je le commençais, je l’arrêtais, par manque de temps ou par appréhension, ou peut-être les deux….

C’est aussi, peu être par peur du ridicule, par peur que cela vous indiffère, par peur des réactions excessives… je ne sais pas.

Cet article me tiens à cœur et en même temps me terrifie, car en l’écrivant, cela me force à revivre une période très dur et sombre de ma vie.

En faite, ces dernières années, j’ai l’impression de m’être perdu en route et cela depuis que j’ai subi du harcèlement moral durant 3 ans où j’ai travaillé dans une société

J’ai changé de nombreuses choses dans ma vie, et je pense que cette période de harcèlement, en fut l’une des causes.

Comment cela est arrivé

A l’époque, je travaillais pour une société en intérim, tout ce passé bien, j’étais même carrément épanouie là-bas. Toutefois, ils n’avaient aucune intention d’embaucher dans les années à venir.
Et moi, je rêvais d’avoir une CDI pour acheter une maison avec mon conjoint. Ce n’était même plus un rêve, c’était devenu vital, sachant que mon cher et tendre, refusait catégoriquement l’option location…

Un jour .. la chance .. ou pas

Un jour, je fus contacté par une société qui me proposait un CDI . Ils étaient même d’accord pour attendre que je termine mon contrat d’intérim. Et ils me parlaient d’un CDI direct. Je fus surprise et tellement enthousiaste que j’ai sauté sur l’occasion.

Dans mon esprit, le plan était simple, CDI = accès au crédit = maison = vivre avec mon conjoint. Même si le poste ne correspondait pas à mes attentes, je prenais…. pas le choix… si je voulais concrétiser mon rêve de foyer.

Ce beau plan a malheureusement vite tourné au cauchemar.

Arrivé dans la société, je fus plutôt bien accueillie par les autres services et parmi certaines « collègues » ; mais dès le premier jour, j’ai senti une tension, limite une terreur de la part de mes futures collègues.

Au bout du 2e jour, j’ai vite compris que cette terreur qu’elles ressentaient venait de la chef…. et j’en ai fait leur frais, très vite.

Plus tard, le grand chef m’a annoncé que depuis plus de deux ans, toutes les personnes embauchées dans la société avaient pris la poudre d’escampette.

D’autre avait fait des dépressions puis étaient partis tellement la cheftaine était une terreur à elle seule. Mais comme elle avait x années d’ancienneté, bien la direction laissée faire. Ils lui transmettaient notre mécontentement, et résultat des courses la bonne humeur de la cheftaine duré 3 jours et après, la vengeance arrivait, et là !! tous aux abris.

Le temps passé, je tenais bon. Mais ma santé en pâtissait

Chaque jour dans cette société devenait un supplice.

J’ai été humilié, rabaissé et j’en passe. On m’a hurlé dessus, pendants des mois, des années même ; j’ai fait des taches qui n’avaient rien à voir avec mon poste (limite on me pourrissait l’existence pour voir jusqu’où je tiendrais) et aucune de mes tentatives d’apaisement ou de défense n’ont fonctionné …

Quand aux collègues, elles étaient plutôt du genre à détourner les yeux, genre « j’ai rien vu, ni rien entendu », et comme ça la cheftaine ne s’en prend pas à elles.

Alors je prenais sur moi et seul mon projet de maison me permettait de tenir dans cet enfer.

Les aides … ça ne semblait pas être pour moi

Quand j’en ai parlé à des amies, j’ai eu des conseils. Genre « Démissionne » ; « fait toi virer » ; « parle au chef » ; « parle à la RH » ; « parle à la médecine du travail » ; « contact l’inspection du travail » etcc.

Démissionner … non pas question de laisser cette société l’emporter…

Se faire virer, à l’époque, je me disais, pas question, je veux ma maison avant et après ils pourront me virer ; quand je deviendrais une loque inutile ; mais encore faut-il réussir à trouver des gens capables de rester… car même des stagiaires, ne voulaient plus revenir.

Parle au chef, j’ai tenté et résultat des courses, j’ai subi le retour de bâton, mais pas de suite, non un peu après… et puis quand le chef vous dit, « c’est ta parole contre la sienne »… « il faudrait qu’une collègue confirme tes dires »… sauf qu’elles avaient trop les pétoches pour ça.

Parle à la RH Qui vous sort « en gros » que c’est à vous de vous adapter au caractère un peu spécial de la chef, et qui vous fait comprendre qu’avec une telle ancienneté, rien ne lui arrivera, contrairement à vous… Ça calme.

Parle à la médecine du travail. Bon ok, la médecine du travail, ils sont à l’écoute, certes, mais en fait, ne peuvent rien faire, à part contacter ton chef pour lui remonter ce que tu leur dits. Alors sachant que le chef et la RH étaient au courant mais que rien n’a changé …. Remettre une couche était limite terrifiant, car derrière s’était la vengeance assurée.

Contact l’inspection du travail. Là encore, je me suis heurtée à un mur, car en gros, ils t’expliquent qu’ils ont besoin de preuves et de témoignages. Sauf que pour avoir des « témoignages », tu peux te lever de bonne heure, quand les autres ne veulent rien faire, car ont besoin de leurs postes, et qu’ils te laissent volontiers subir la tyrannie pour éviter d’être les suivants… ça limite les tentatives… Et quand tu cherches des preuves avec l’inspection du travail et qu’ils sont même pas fichu de trouver la bonne convention collective tellement la société chez qui tu bosses est vieille, limite inconnue au bataillon.. bien à un moment j’ai laissé tomber. Et j’ai subi.

Un cour répit.

Au bout d’un an et demi, une collègue a daigné aller voir le chef pour « témoigner » du harcèlement dont je fus victime si longtemps…

De là, la cheftaine fut destituée et remplacé par l’ancien chef de cette même cheftaine et la société a déménagé dans d’autres bureaux.

L’improbable se produisit

J’ai découvert que la cheftaine harceleuse avait subi bien des misères de la part de son chef à l’époque où elle n’était qu’employée et quand elle fut destitué, c’est lui son ancien chef qui a pris sa place…. et au grand choque de tous, ce vieux monsieur qui était tout gentil au début est redevenu tyrannique dès qu’il a repris la place de « chef ». On en a tous fait les frais, moi encore plus car j’étais dans le même bureau après le déménagement.

La mentalité des gens dans cette société était hallucinante. Ils se sont faits harceler, humilier et j’en passe, et au lieu de ne pas reproduire ce qu’ils ont vécu ; c’est tout l’inverse, en gros les tyrannisés deviennent les tyrans…

Ténacité au détriment de la santé

Quand enfin j’ai pu acheter la maison avec mon chéri, je fus soulagée. Et je me suis dit, c’est bon je peux quitter cet enfer de société.

Sauf que les travaux ont duré en longueur et que (pour ceux ayant suivi les aventures de la maison ICI) on n’y a pas vécu avant quelques années.

J’allais de plus en plus mal

A force de travailler dans un tel environnement, mon état psychique et ma santé en ont pris un coup.

Je suis devenue « méfiante », « soupe au lait » avec mon entourage, la moindre remarque devenait insupportable.

Je me suis renfermée sur moi-même, déjà que je ne sortais pas beaucoup, là je ne sortais plus, je ne faisais que réfléchir à comment agir sans subir les foudres et remarques désobligeante dans ma société.

Mon système intestinal est devenu maboul, j’allais en diarrhée parfois jusqu’à 5 à 6 fois par jours.

Mes migraines me rendait marteau.

J’ai même dû porter des lunettes, car je ne supportais plus la lumière des néons dans mon bureau.

Mon docteur m’avait prescrit du magnésium et des anxiolytiques tellement j’étais à bout de nerfs.

J’ai développé une sorte de toux nerveuse que j’ai encore aujourd’hui, quand je me stresse ou m’énerve, je tousse à m’en décrocher les poumons.

Je ne compte plus le nombre de fois où je pleurais dans ma voiture sur la route du retour, pour évacuer de ma journée et tellement j’avais honte de ma situation.

Quand votre moitié ne vous comprends pas

J’avais le soutien de ma maman et de certaines amies qui me conseiller de prendre mes jambes à mon coup avec cette société….
Bien sûr, tout cela, j’en ai parlé avec mon chéri et là j’ai déchanté….
Certes il voyait les dégâts qu’avait fait la société sur moi, il était devenu inconcevable pour lui que je pars de là, car justement on avait une maison, un crédit etc alors il m’a dit, tu restes, tu verras, ça va passer..

Rien a changé bien au contraire

J’étais dépité, car j’avais littéralement sacrifié ma santé, mon moral pour avoir notre maison, et malgré ça, mon conjoint ne me soutenait pas, pire encore, il repoussait sans cesse le moment de vivre dans la maison.

Mes seuls moment de repits étaient lorsque je partais en déplacement professionnel.

Mais au final, j’avais l’impression de m’être faite avoir des deux côtés.

Quand l’enfer prend fin, un autre prend sa place.

La société qui m’a pourri la vie un bon moment a vu qu’une aide subventionné par l’état était plus intéressante que moi.

En effet, s’il décidait d’embaucher une jeune de moins de 25 en contrat de je ne sais plus quoi, ils toucheraient une aide pendant 2 ou 3 ans car la société avait moins de 10 salariés.

Et bizarrement, une stagiaire est arrivée et comme par hasard il s’agissait de la fille de l’un des grands patron….

J’ai senti le vent tourner

Je me suis dit qu’à tous les coups, j’allais bientôt être remplacé pour x motifs tordu et que cette fille serait embauché….

Ce qui n’a pas loupé, car on m’a sorti des trucs qui n’avaient ni queue ni tête et dont j’ai fait les frais… mais impossible de me défendre… à force, je n’avais même pu envie de me battre, ni de me défendre, ni de me justifier.

Taff, moral, confiance se font la malle.

Après divers péripéties, ils ont réussi a me dire « byby ».
Et bien que j’avais monté un dossier, avec des preuves qui montrer la folie et les agissements tordu et parfois pas très net de la société. Je me suis dégonflée.

Car après avoir discuté avec une représentante de la Loi et d’autres personnes du droit, ils m’ont bien dit que si je poursuivais la société au prud’homme, ça me prendrait beaucoup de temps, sûrement de l’argent et que j’avais intérêt à avoir les nerfs solides.

Plus de force

Ils ont réussi à me décourager, je n’avais plus de force, j’étais arrivé au bout du bout, je voulais juste toucher mes indemnités et tourner la page ; me reconstruire….

J’ai direct enchaîné ailleurs

Je me suis dit qu’il fallait que je remets vite le pieds à l’étrier et travailler dans une autre société.

Ce que j’ai fait en intérim, plusieurs fois et ça, à peine 8 jours après avoir arrêté chez les fous

Quelque chose s’est détraqué en moi

Mais voilà, bien que j’ai toujours voulu rester forte, car je ne voulais pas que la malveillance dans cet société ne me brise ou ne m’atteigne, ce fut très dur.

Et lorsque j’ai travaillé dans d’autres sociétés, même si cela se passé très bien, j’avais toujours cette appréhension, cette peur que l’on me reparle comme un chien ou qu’on ne me cri dessus comme ce fut le cas si longtemps. C’est devenu ma hantise.

Depuis, dès qu’une personne lève le ton à mon égard, je me « braque » et suis direct sur la défensive…

Lorsque je devais repasser des entretiens et faire en sorte de me « vendre » pour avoir un emploi, je me sentais très mal, car je ne pouvais pas parler de cette longue et perturbante expérience du passé, au risque d’être mal vu par l’agence ou la société chez qui je postulais.

En plus, lorsque je postulais pour travailler, étrangement, il s’agissait de mission où le stress était intense ; l’agence prévenait que peu de personnes restés dans x sociétés car les employeurs étaient du genre à s’énerver pour rien, en gros il fallait avoir une gestion du stress importante.

Et franchement, je ne voulais plus ressentir cette pression, cette oppression, se stress, je ne m’en sentais plus la force, j’en avais marre ; pire que ça même j’en avais râle le bol que les employeurs se permettent de crier, de gronder les employés parce qu’eux même sont énervé ou stressé et qu’ils déchargent leurs colère sur les employés et que nous pauvres employés, si on veut bosser, on doit subir sans broncher sinon s’est la porte…

Il fallait une solution

Le vase était plein, je devais trouver une alternative qui me permet de retravailler et de ne plus avoir cette boule en ventre chaque soir en me couchant et chaque matin au réveil.

Je voulais cesser de prendre des anxiolytiques ou tout autres calmants.

Je suis restée au chômage quelques mois et j’ai fait le nécessaire pour que l’on vive dans la maison qu’on avait acheté avec mon conjoint.

J’avais enfin ce que je desirais depuis si longtemps « ma maison » ; mais j’avais toujours cette énorme appréhension à l’idée de retravailler dans une société et je me sentais plus en securité chez moi… sauf qu’il me fallait retravailler…

Là une idée m’est venu.

Comme je n’arrivais plus à me sentir sereine à l’idée de travailler à l’extérieur de chez moi, je me suis dit qu’il serait judicieux de trouver un emploi que je puisse faire de chez moi…

Donc après bien des démarches et papiers administratif, je me suis mis à mon compte et désormais je travaille à mon domicile, depuis 1 ans bientôt.

Plus de patron, plus de stresse avec les horaires, plus de bouchons interminable me faisant rentrer à pas d’heure, plus de repas pris sur le pouce dans ma voiture comme une malheureuse

Pourtant, tout n’a pas été comme je l’aurais voulu

Je me suis fait harceler pendant x années – mais j’ai enfin eu ma maison

Seulement, je ne sais pas si c’est mon caractère qui a changé ou celui de mon conjoint, mais ce n’est pas si « rose » que ce à quoi j’aspirais…

Si ça vous dit d’en savoir plus …. dit-le moi …