société

Ce qui m’interpelle au niveau du confinement

Vous le savez tous, je ne vais pas me répéter, on est tous confiné #resterchezvous

Le virus, ce Covid-19 ou Coronavirus selon la manière dont on l’appelle est réellement dangereux. Il a fait des milliers de mort. Ce doit être l’une des catastrophes sanitaire les plus grave à ce jour.

D’ailleurs, jamais je n’aurais cru un jour qu’un tel virus décimerait autant de monde sur la planète.

Ainsi, pour « sortir » nous devons faire preuve de vigilance, en ce protégeant « masques, gants etc » et nous munir de notre petite attestation de droit de sortie qui précise le motif de notre sortie.

 

LIMITER LES SORTIES

Le gouvernement a demandé à chacun de rester chez lui #resterchezvous  et de ne sortir qu’en cas de réelle nécessité.

La majeure partie des sociétés sont en chômage technique pour limiter la pandémie. Seule une minorité reste ouverte.Sous condition de respecter les règles sanitaires du confinement.

En gros, si la société ne peut pas mettre ses employés en télétravaille, et qu’ils n’ont d’autres choix, alors ils peuvent faire bosser leurs employés (toujours en respectant les règles sanitaires).

 

CE QUE JE NE COMPRENDS PAS DANS CE CONFINEMENT.

Des sociétés semblent faire le « yoyo » avec leurs employés.

Ils les mettent en « chômages techniques » une quinzaine de jours, puis leur demande de revenir travailler pour diverses raisons, pour ensuite les remettre en chômages techniques.

Vous trouvez ça logique ? normal ?

 

En ce qui concernant les grandes surfaces, (Auchan, Leclerc, Cora, Carrefour suite de la liste des grande surface ) (à la bonheur, ils sont ouverts pour les courses, car tout le monde n’a pas la chance d’avoir un ordinateur, ni la possibilité de faire des Drives).

Il est dit que seule l’alimentaire et les appareils de première nécessité peuvent être vendus.
Sauf qu’en réalité, tout ce vend. Donc un magasin spécialisé, qui lui n’est pas une grande surface est en faite pénalisé par ce confinement car les gens achètent tout en hypermarché.

Même @Amazon à reçu des restrictions de vente. Mais pas les grandes surfaces semble-t-il.

 

Certains pays ont tout fermé, mais en France, des sociétés sont fermées, d’autres non.
Donc les sociétés qui restent ouvertes par choix, font courir un risque à leurs employés.
L’employé ne peut pas refuser d’aller travailler sans un motif réel et sérieux prouvant que les règles sanitaires dues au Covid-19 ne sont pas respectées et qu’il aurait peur pour sa vie.

Le gouvernement a ouvert les droits aux chômages techniques, pour toutes sociétés, afin de limiter aux maximum les licenciements. Mais les licenciements ne sont pas interdits. On marche sur la tête.
Car rappelons qu’avec la crise de 2008, les sociétés s’en sont donné à cœur joie niveau licenciement.

 

Le non respect des règles sanitaires du Covid-19.

Distance de sécurité et attestations de sortie.

On demande aux gens de respecter une distance , d’1 mètre, mais certaines infos préconiseraient 2 mètres et non 1 mètre pour leurs sécurités. Certains n’en tiennent pas comptes.

Les distances de sécurité entre individus.

L’autre jour, j’allais à la boulangerie et les gens respectés vraiment bien les distances de sécurité. Puis un homme arrive et lance à la volé « la distance s’est 1 mètre pas 5 mètres » (qu’est-ce que ça peut lui faire, si ça permet à certains de se sentir mieux.)
De là, un autre homme se pointe et sort sa science genre « pas besoin d’en faire autant » et en moins de 3 minutes, ils étaient 5 à 6 en cercles, à moins d’un mètre chacun à déblatérer de ce qui est bien où pas de faire.
Parfois (navrée du terme) je trouve que certains sont C** comme des balais.

Certains chercheur estiment que la distance d’1 mètre n’est pas suffisante, certains préconise 2 mètres, et d’autres, qui calculent la vitesse de projection d’un éternuement préconise jusqu’à 8 mètres

 

Les attestations de sortie.

Lorsque je dois sortir, je remplie mon attestation.

Un jour, en discutant par jardin interposer avec une personne. Je lui explique que je ne peux aller voir ma mère car elle habite trop loin (30 min de route rien qu’à l’allé) et comme on ne peut sortir qu’une heure, bien c’est risqué, car en cas de contrôle, je risque cher.
Là, la personne me sort « bien tu fais 2 attestations avec infos différentes et tu donnes l’une où l’autre en fonction du lieu et de l’heure de ton contrôle ».
J’avoue que d’un côté, cela me tenterait pour aider ma mère, mais en même temps, il y a un côté « confiance » dans ses attestations et mentir ainsi… ça me perturbe, car déjà j’ai un petit, je ne veux pas non plus prendre des risques inutiles, qui plus est, si je venais à me faire « griller », ça ferait mal au portefeuille.
Qu’en pensez-vous ?

Un homme s’est pris une amende de quasiment 4000 euros pour avoir voulu chercher de l’essence en Belgique..

Il existe des attestations numérique qui évite la fraude
L’attestation de déplacement numérique est désormais autorisée. L’exécutif a mis en ligne un outil officiel permettant de générer le formulaire en ligne directement depuis son smartphone, qu’il s’agisse d’un iPhone ou d’un téléphone sous Android. Pour y accéder, cliquez sur le bouton « Générer en ligne » ci-dessus. Le formulaire ainsi produit comporte un QR code que les forces de l’ordre n’ont plus qu’à scanner. A noter qu’il reste toutefois indispensable de se munir d’une pièce d’identité et de fournir une nouvelle attestation à chaque nouvelle sortie. Par ailleurs, un dispositif anti-fraude a été mis en place pour permettre aux policiers d’accéder à l’heure à laquelle le formulaire a été édité via le générateur d’attestations et ainsi éviter que les promeneurs ne le génèrent au dernier moment à la vue des forces de l’ordre. Aucune donnée personnelle n’est cependant conservée, assure l’exécutif. L’attestation numérique ne remplace pas l’attestation papier : il est toujours possible de présenter le document imprimé ou recopié à la main. Il s’agit juste d’une option complémentaire.

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Lorsqu’on va en magasin faire des courses, pour limite les risques, ils disent « 1 personne par cadie » mais en faite, c’est 1 personne par foyer en gros.
Et bien certaines personnes qui venaient ensemble et s’étant gentillement fait « refoulé » à l’entrée du magasin, sont juste venu séparément à la barbe et au nez de l’agent de sécurité.
Et après dans le magasin, ça tape la cosette comme si de rien n’était.

Donc j’en déduits que les gens ne sont pas responsables ni civilisé, ni même respectueux des règles et d’autrui.

Et ça m’insupporte !  Et Vous ?

 

Les achats et les Dates Limites de Consommations.

 

Furie acheteuse

Le virus, le Covid-19 a placé le monde dans un état de panique sans nom. Les gens se sont précipités sur les achats comme un gigantesque nuage de frelons, allant jusqu’à se battre pour des articles.

Certes, on est bien content que les magasins soient ouverts, sinon se serait encore pire. Merci à tous ses employés qui travaillent là, malgré les risques

Les gens ont fait leurs courses en masses vers les Drives et les livraisons à domicile ce qui a saturé les services et créé de gros ralentissement.

Toutefois, ceux qui proposent des Drives et des livraisons, n’ont jamais vu leur chiffre d’affaires grimper si fortement, donc ce confinement reste financièrement bénéfique pour eux, je pense.

 

Les dates limites de consommations dépassés lorsqu’on fait des Drives.

Malgré les commandes qui afflux en masses, une chose arrive, de plus en plus souvent, le problème de DLC = Date Limite de Consommation.

En effet, les dates limites de consommations sont parfois très proches, voir carrément dépassé. J’avoue que s’est agaçant, car lorsqu’on fait un Drive, on fait confiance au livreur. Surtout en période confinement, où la directive est d’ouvrir le coffre, de repartir dans sa voiture, le livreur charge, ferme le coffre et on part, ce qui est plus sécurisant pour éviter le virus, mais des surprises arrivent parfois.

J’en ai d’ailleurs fait les frais, avec un Drive. J’avais acheté des steaks Charal qui étaient périmés depuis l’aveil lorsque j’ai reçu mon panier.
J’ai juste contacté le magasin, qui m’a crédité l’article sur ma carte de fidélité. Car c’est des choses qui arrivent, personne n’est irréprochable. En plus c’est la première fois que ça se produit. Si c’était récurrent, je serais plus agacé.

Après, il faut se mettre à la place des préparateurs de commandes. Avec ce confinement, et la masse de commande qu’ils doivent gérer, elles sont parfois à J+3. Les clients doivent parfois attendre 8 jours avant une commande, ce fut mon cas. Alors pour les DLC, ça doit être bien compliqué quand même.

 

 Et vous ? avez-vous des interrogations où des choses 
qui vous font monter la moutarde au nez ?
Un peu de moi

Perdu en chemin après du harcèlement moral

Salut à tous,

Cela fait bien longtemps que je souhaite vous mettre cet article, mais je ne savais pas réellement par où commencer. Je le commençais, je l’arrêtais, par manque de temps ou par appréhension, ou peut-être les deux….

C’est aussi, peu être par peur du ridicule, par peur que cela vous indiffère, par peur des réactions excessives… je ne sais pas.

Cet article me tiens à cœur et en même temps me terrifie, car en l’écrivant, cela me force à revivre une période très dur et sombre de ma vie.

En faite, ces dernières années, j’ai l’impression de m’être perdu en route et cela depuis que j’ai subi du harcèlement moral durant 3 ans où j’ai travaillé dans une société

J’ai changé de nombreuses choses dans ma vie, et je pense que cette période de harcèlement, en fut l’une des causes.

Comment cela est arrivé

A l’époque, je travaillais pour une société en intérim, tout ce passé bien, j’étais même carrément épanouie là-bas. Toutefois, ils n’avaient aucune intention d’embaucher dans les années à venir.
Et moi, je rêvais d’avoir une CDI pour acheter une maison avec mon conjoint. Ce n’était même plus un rêve, c’était devenu vital, sachant que mon cher et tendre, refusait catégoriquement l’option location…

Un jour .. la chance .. ou pas

Un jour, je fus contacté par une société qui me proposait un CDI . Ils étaient même d’accord pour attendre que je termine mon contrat d’intérim. Et ils me parlaient d’un CDI direct. Je fus surprise et tellement enthousiaste que j’ai sauté sur l’occasion.

Dans mon esprit, le plan était simple, CDI = accès au crédit = maison = vivre avec mon conjoint. Même si le poste ne correspondait pas à mes attentes, je prenais…. pas le choix… si je voulais concrétiser mon rêve de foyer.

Ce beau plan a malheureusement vite tourné au cauchemar.

Arrivé dans la société, je fus plutôt bien accueillie par les autres services et parmi certaines « collègues » ; mais dès le premier jour, j’ai senti une tension, limite une terreur de la part de mes futures collègues.

Au bout du 2e jour, j’ai vite compris que cette terreur qu’elles ressentaient venait de la chef…. et j’en ai fait leur frais, très vite.

Plus tard, le grand chef m’a annoncé que depuis plus de deux ans, toutes les personnes embauchées dans la société avaient pris la poudre d’escampette.

D’autre avait fait des dépressions puis étaient partis tellement la cheftaine était une terreur à elle seule. Mais comme elle avait x années d’ancienneté, bien la direction laissée faire. Ils lui transmettaient notre mécontentement, et résultat des courses la bonne humeur de la cheftaine duré 3 jours et après, la vengeance arrivait, et là !! tous aux abris.

Le temps passé, je tenais bon. Mais ma santé en pâtissait

Chaque jour dans cette société devenait un supplice.

J’ai été humilié, rabaissé et j’en passe. On m’a hurlé dessus, pendants des mois, des années même ; j’ai fait des taches qui n’avaient rien à voir avec mon poste (limite on me pourrissait l’existence pour voir jusqu’où je tiendrais) et aucune de mes tentatives d’apaisement ou de défense n’ont fonctionné …

Quand aux collègues, elles étaient plutôt du genre à détourner les yeux, genre « j’ai rien vu, ni rien entendu », et comme ça la cheftaine ne s’en prend pas à elles.

Alors je prenais sur moi et seul mon projet de maison me permettait de tenir dans cet enfer.

Les aides … ça ne semblait pas être pour moi

Quand j’en ai parlé à des amies, j’ai eu des conseils. Genre « Démissionne » ; « fait toi virer » ; « parle au chef » ; « parle à la RH » ; « parle à la médecine du travail » ; « contact l’inspection du travail » etcc.

Démissionner … non pas question de laisser cette société l’emporter…

Se faire virer, à l’époque, je me disais, pas question, je veux ma maison avant et après ils pourront me virer ; quand je deviendrais une loque inutile ; mais encore faut-il réussir à trouver des gens capables de rester… car même des stagiaires, ne voulaient plus revenir.

Parle au chef, j’ai tenté et résultat des courses, j’ai subi le retour de bâton, mais pas de suite, non un peu après… et puis quand le chef vous dit, « c’est ta parole contre la sienne »… « il faudrait qu’une collègue confirme tes dires »… sauf qu’elles avaient trop les pétoches pour ça.

Parle à la RH Qui vous sort « en gros » que c’est à vous de vous adapter au caractère un peu spécial de la chef, et qui vous fait comprendre qu’avec une telle ancienneté, rien ne lui arrivera, contrairement à vous… Ça calme.

Parle à la médecine du travail. Bon ok, la médecine du travail, ils sont à l’écoute, certes, mais en fait, ne peuvent rien faire, à part contacter ton chef pour lui remonter ce que tu leur dits. Alors sachant que le chef et la RH étaient au courant mais que rien n’a changé …. Remettre une couche était limite terrifiant, car derrière s’était la vengeance assurée.

Contact l’inspection du travail. Là encore, je me suis heurtée à un mur, car en gros, ils t’expliquent qu’ils ont besoin de preuves et de témoignages. Sauf que pour avoir des « témoignages », tu peux te lever de bonne heure, quand les autres ne veulent rien faire, car ont besoin de leurs postes, et qu’ils te laissent volontiers subir la tyrannie pour éviter d’être les suivants… ça limite les tentatives… Et quand tu cherches des preuves avec l’inspection du travail et qu’ils sont même pas fichu de trouver la bonne convention collective tellement la société chez qui tu bosses est vieille, limite inconnue au bataillon.. bien à un moment j’ai laissé tomber. Et j’ai subi.

Un cour répit.

Au bout d’un an et demi, une collègue a daigné aller voir le chef pour « témoigner » du harcèlement dont je fus victime si longtemps…

De là, la cheftaine fut destituée et remplacé par l’ancien chef de cette même cheftaine et la société a déménagé dans d’autres bureaux.

L’improbable se produisit

J’ai découvert que la cheftaine harceleuse avait subi bien des misères de la part de son chef à l’époque où elle n’était qu’employée et quand elle fut destitué, c’est lui son ancien chef qui a pris sa place…. et au grand choque de tous, ce vieux monsieur qui était tout gentil au début est redevenu tyrannique dès qu’il a repris la place de « chef ». On en a tous fait les frais, moi encore plus car j’étais dans le même bureau après le déménagement.

La mentalité des gens dans cette société était hallucinante. Ils se sont faits harceler, humilier et j’en passe, et au lieu de ne pas reproduire ce qu’ils ont vécu ; c’est tout l’inverse, en gros les tyrannisés deviennent les tyrans…

Ténacité au détriment de la santé

Quand enfin j’ai pu acheter la maison avec mon chéri, je fus soulagée. Et je me suis dit, c’est bon je peux quitter cet enfer de société.

Sauf que les travaux ont duré en longueur et que (pour ceux ayant suivi les aventures de la maison ICI) on n’y a pas vécu avant quelques années.

J’allais de plus en plus mal

A force de travailler dans un tel environnement, mon état psychique et ma santé en ont pris un coup.

Je suis devenue « méfiante », « soupe au lait » avec mon entourage, la moindre remarque devenait insupportable.

Je me suis renfermée sur moi-même, déjà que je ne sortais pas beaucoup, là je ne sortais plus, je ne faisais que réfléchir à comment agir sans subir les foudres et remarques désobligeante dans ma société.

Mon système intestinal est devenu maboul, j’allais en diarrhée parfois jusqu’à 5 à 6 fois par jours.

Mes migraines me rendait marteau.

J’ai même dû porter des lunettes, car je ne supportais plus la lumière des néons dans mon bureau.

Mon docteur m’avait prescrit du magnésium et des anxiolytiques tellement j’étais à bout de nerfs.

J’ai développé une sorte de toux nerveuse que j’ai encore aujourd’hui, quand je me stresse ou m’énerve, je tousse à m’en décrocher les poumons.

Je ne compte plus le nombre de fois où je pleurais dans ma voiture sur la route du retour, pour évacuer de ma journée et tellement j’avais honte de ma situation.

Quand votre moitié ne vous comprends pas

J’avais le soutien de ma maman et de certaines amies qui me conseiller de prendre mes jambes à mon coup avec cette société….
Bien sûr, tout cela, j’en ai parlé avec mon chéri et là j’ai déchanté….
Certes il voyait les dégâts qu’avait fait la société sur moi, il était devenu inconcevable pour lui que je pars de là, car justement on avait une maison, un crédit etc alors il m’a dit, tu restes, tu verras, ça va passer..

Rien a changé bien au contraire

J’étais dépité, car j’avais littéralement sacrifié ma santé, mon moral pour avoir notre maison, et malgré ça, mon conjoint ne me soutenait pas, pire encore, il repoussait sans cesse le moment de vivre dans la maison.

Mes seuls moment de repits étaient lorsque je partais en déplacement professionnel.

Mais au final, j’avais l’impression de m’être faite avoir des deux côtés.

Quand l’enfer prend fin, un autre prend sa place.

La société qui m’a pourri la vie un bon moment a vu qu’une aide subventionné par l’état était plus intéressante que moi.

En effet, s’il décidait d’embaucher une jeune de moins de 25 en contrat de je ne sais plus quoi, ils toucheraient une aide pendant 2 ou 3 ans car la société avait moins de 10 salariés.

Et bizarrement, une stagiaire est arrivée et comme par hasard il s’agissait de la fille de l’un des grands patron….

J’ai senti le vent tourner

Je me suis dit qu’à tous les coups, j’allais bientôt être remplacé pour x motifs tordu et que cette fille serait embauché….

Ce qui n’a pas loupé, car on m’a sorti des trucs qui n’avaient ni queue ni tête et dont j’ai fait les frais… mais impossible de me défendre… à force, je n’avais même pu envie de me battre, ni de me défendre, ni de me justifier.

Taff, moral, confiance se font la malle.

Après divers péripéties, ils ont réussi a me dire « byby ».
Et bien que j’avais monté un dossier, avec des preuves qui montrer la folie et les agissements tordu et parfois pas très net de la société. Je me suis dégonflée.

Car après avoir discuté avec une représentante de la Loi et d’autres personnes du droit, ils m’ont bien dit que si je poursuivais la société au prud’homme, ça me prendrait beaucoup de temps, sûrement de l’argent et que j’avais intérêt à avoir les nerfs solides.

Plus de force

Ils ont réussi à me décourager, je n’avais plus de force, j’étais arrivé au bout du bout, je voulais juste toucher mes indemnités et tourner la page ; me reconstruire….

J’ai direct enchaîné ailleurs

Je me suis dit qu’il fallait que je remets vite le pieds à l’étrier et travailler dans une autre société.

Ce que j’ai fait en intérim, plusieurs fois et ça, à peine 8 jours après avoir arrêté chez les fous

Quelque chose s’est détraqué en moi

Mais voilà, bien que j’ai toujours voulu rester forte, car je ne voulais pas que la malveillance dans cet société ne me brise ou ne m’atteigne, ce fut très dur.

Et lorsque j’ai travaillé dans d’autres sociétés, même si cela se passé très bien, j’avais toujours cette appréhension, cette peur que l’on me reparle comme un chien ou qu’on ne me cri dessus comme ce fut le cas si longtemps. C’est devenu ma hantise.

Depuis, dès qu’une personne lève le ton à mon égard, je me « braque » et suis direct sur la défensive…

Lorsque je devais repasser des entretiens et faire en sorte de me « vendre » pour avoir un emploi, je me sentais très mal, car je ne pouvais pas parler de cette longue et perturbante expérience du passé, au risque d’être mal vu par l’agence ou la société chez qui je postulais.

En plus, lorsque je postulais pour travailler, étrangement, il s’agissait de mission où le stress était intense ; l’agence prévenait que peu de personnes restés dans x sociétés car les employeurs étaient du genre à s’énerver pour rien, en gros il fallait avoir une gestion du stress importante.

Et franchement, je ne voulais plus ressentir cette pression, cette oppression, se stress, je ne m’en sentais plus la force, j’en avais marre ; pire que ça même j’en avais râle le bol que les employeurs se permettent de crier, de gronder les employés parce qu’eux même sont énervé ou stressé et qu’ils déchargent leurs colère sur les employés et que nous pauvres employés, si on veut bosser, on doit subir sans broncher sinon s’est la porte…

Il fallait une solution

Le vase était plein, je devais trouver une alternative qui me permet de retravailler et de ne plus avoir cette boule en ventre chaque soir en me couchant et chaque matin au réveil.

Je voulais cesser de prendre des anxiolytiques ou tout autres calmants.

Je suis restée au chômage quelques mois et j’ai fait le nécessaire pour que l’on vive dans la maison qu’on avait acheté avec mon conjoint.

J’avais enfin ce que je desirais depuis si longtemps « ma maison » ; mais j’avais toujours cette énorme appréhension à l’idée de retravailler dans une société et je me sentais plus en securité chez moi… sauf qu’il me fallait retravailler…

Là une idée m’est venu.

Comme je n’arrivais plus à me sentir sereine à l’idée de travailler à l’extérieur de chez moi, je me suis dit qu’il serait judicieux de trouver un emploi que je puisse faire de chez moi…

Donc après bien des démarches et papiers administratif, je me suis mis à mon compte et désormais je travaille à mon domicile, depuis 1 ans bientôt.

Plus de patron, plus de stresse avec les horaires, plus de bouchons interminable me faisant rentrer à pas d’heure, plus de repas pris sur le pouce dans ma voiture comme une malheureuse

Pourtant, tout n’a pas été comme je l’aurais voulu

Je me suis fait harceler pendant x années – mais j’ai enfin eu ma maison

Seulement, je ne sais pas si c’est mon caractère qui a changé ou celui de mon conjoint, mais ce n’est pas si « rose » que ce à quoi j’aspirais…

Si ça vous dit d’en savoir plus …. dit-le moi …