Vie privée

Retrouvons nous

Bonjour,

Je vous écris cet article, car il y a plusieurs mois de cela, je vous ai annoncé mon ravissement d’avoir enfin mon propre nom de domaine.

Seulement, l’hébergeur qui m’avait proposé l’offre, est qui n’est d’autre que 1&1 Inos, ne m’avait pas expliqué certains éléments.

 

Résultat, ce qui devait être génial, c’est retrouvé être catastrophique.

Pour, je ne sais quel raison, les abonnés qui connaissaient le blog et qui y étaient inscrit, se sont retrouvés effacés.

Je n’avais plus l’option permettant d’inscription à la newsletter, ni même que quiconque ne puisse s’inscrire.

Tout était en anglais, alors que clairement je parle et comprends l’anglais comme une vache Espagnol.

Donc je ne cessais d’utiliser « google traduction ». Merci GOOGLE

 

De ce fait, ça en plus des soucis familiaux, j’étais tellement dépité que j’ai voulu tout laisser tomber.

 

J’avais téléphoné à 1&1IONOS pour expliquer mon problème, mais à par me dire de prendre tel formule ou de payer un développeur pouvant réparer les soucis, rien ne changé. J’était dépité.

 

UN JOUR DES MODIFICATIONS DE NUL PART

Et un jour, je suis retourner sur le blog, et bim, je pouvais placer les éléments manquants et tout était enfin en français.

Comment je n’en sais rien, peu être cela venait-il de l’hébergeur, où un miracle de Noel à l’avance.

Ainsi, j’ai repris du poils de la bête.

 

ET FINALEMENT J’AI CHANGÉ MON NOM.

Du coup, ne trouvant pas de solution pour retrouver mes abonnés perdu, j’ai décidé de tout changer et de repartir de zéro ou presque.

J’ai donc décidé de changé mon pseudonyme sur les réseaux.

Ainsi, Myriaime est devenu >> Myrieaime.

La différence, un simple lettre, le « e » mais qui me correspond.

 

Ainsi, j’ai changé mes réseaux sociaux.

Mon blog :
https://myrieaime.com/

Ma nouvelle page face book :
Myrieaime

Mon twitter :
https://twitter.com/Myrieaime

Mon Pinterest

https://www.pinterest.fr/myrieaime/

Mon instagram :
https://www.instagram.com/myrieaime/

 

RETROUVONS NOUS

Malgré cette mésaventure, j’aimerais que l’on puisse se retrouver, et ainsi pouvoir de nouveau communiquer et discuter ensemble, partager des commentaires.

 

Je vous invite donc à vous réinscrire sur le blog et mes autres réseaux, je serais ravie de vous y retrouver.

 

nouveaux réseaux

Un peu de moi

Perdu en chemin après du harcèlement moral

Salut à tous,

Cela fait bien longtemps que je souhaite vous mettre cet article, mais je ne savais pas réellement par où commencer. Je le commençais, je l’arrêtais, par manque de temps ou par appréhension, ou peut-être les deux….

C’est aussi, peu être par peur du ridicule, par peur que cela vous indiffère, par peur des réactions excessives… je ne sais pas.

Cet article me tiens à cœur et en même temps me terrifie, car en l’écrivant, cela me force à revivre une période très dur et sombre de ma vie.

En faite, ces dernières années, j’ai l’impression de m’être perdu en route et cela depuis que j’ai subi du harcèlement moral durant 3 ans où j’ai travaillé dans une société

J’ai changé de nombreuses choses dans ma vie, et je pense que cette période de harcèlement, en fut l’une des causes.

Comment cela est arrivé

A l’époque, je travaillais pour une société en intérim, tout ce passé bien, j’étais même carrément épanouie là-bas. Toutefois, ils n’avaient aucune intention d’embaucher dans les années à venir.
Et moi, je rêvais d’avoir une CDI pour acheter une maison avec mon conjoint. Ce n’était même plus un rêve, c’était devenu vital, sachant que mon cher et tendre, refusait catégoriquement l’option location…

Un jour .. la chance .. ou pas

Un jour, je fus contacté par une société qui me proposait un CDI . Ils étaient même d’accord pour attendre que je termine mon contrat d’intérim. Et ils me parlaient d’un CDI direct. Je fus surprise et tellement enthousiaste que j’ai sauté sur l’occasion.

Dans mon esprit, le plan était simple, CDI = accès au crédit = maison = vivre avec mon conjoint. Même si le poste ne correspondait pas à mes attentes, je prenais…. pas le choix… si je voulais concrétiser mon rêve de foyer.

Ce beau plan a malheureusement vite tourné au cauchemar.

Arrivé dans la société, je fus plutôt bien accueillie par les autres services et parmi certaines « collègues » ; mais dès le premier jour, j’ai senti une tension, limite une terreur de la part de mes futures collègues.

Au bout du 2e jour, j’ai vite compris que cette terreur qu’elles ressentaient venait de la chef…. et j’en ai fait leur frais, très vite.

Plus tard, le grand chef m’a annoncé que depuis plus de deux ans, toutes les personnes embauchées dans la société avaient pris la poudre d’escampette.

D’autre avait fait des dépressions puis étaient partis tellement la cheftaine était une terreur à elle seule. Mais comme elle avait x années d’ancienneté, bien la direction laissée faire. Ils lui transmettaient notre mécontentement, et résultat des courses la bonne humeur de la cheftaine duré 3 jours et après, la vengeance arrivait, et là !! tous aux abris.

Le temps passé, je tenais bon. Mais ma santé en pâtissait

Chaque jour dans cette société devenait un supplice.

J’ai été humilié, rabaissé et j’en passe. On m’a hurlé dessus, pendants des mois, des années même ; j’ai fait des taches qui n’avaient rien à voir avec mon poste (limite on me pourrissait l’existence pour voir jusqu’où je tiendrais) et aucune de mes tentatives d’apaisement ou de défense n’ont fonctionné …

Quand aux collègues, elles étaient plutôt du genre à détourner les yeux, genre « j’ai rien vu, ni rien entendu », et comme ça la cheftaine ne s’en prend pas à elles.

Alors je prenais sur moi et seul mon projet de maison me permettait de tenir dans cet enfer.

Les aides … ça ne semblait pas être pour moi

Quand j’en ai parlé à des amies, j’ai eu des conseils. Genre « Démissionne » ; « fait toi virer » ; « parle au chef » ; « parle à la RH » ; « parle à la médecine du travail » ; « contact l’inspection du travail » etcc.

Démissionner … non pas question de laisser cette société l’emporter…

Se faire virer, à l’époque, je me disais, pas question, je veux ma maison avant et après ils pourront me virer ; quand je deviendrais une loque inutile ; mais encore faut-il réussir à trouver des gens capables de rester… car même des stagiaires, ne voulaient plus revenir.

Parle au chef, j’ai tenté et résultat des courses, j’ai subi le retour de bâton, mais pas de suite, non un peu après… et puis quand le chef vous dit, « c’est ta parole contre la sienne »… « il faudrait qu’une collègue confirme tes dires »… sauf qu’elles avaient trop les pétoches pour ça.

Parle à la RH Qui vous sort « en gros » que c’est à vous de vous adapter au caractère un peu spécial de la chef, et qui vous fait comprendre qu’avec une telle ancienneté, rien ne lui arrivera, contrairement à vous… Ça calme.

Parle à la médecine du travail. Bon ok, la médecine du travail, ils sont à l’écoute, certes, mais en fait, ne peuvent rien faire, à part contacter ton chef pour lui remonter ce que tu leur dits. Alors sachant que le chef et la RH étaient au courant mais que rien n’a changé …. Remettre une couche était limite terrifiant, car derrière s’était la vengeance assurée.

Contact l’inspection du travail. Là encore, je me suis heurtée à un mur, car en gros, ils t’expliquent qu’ils ont besoin de preuves et de témoignages. Sauf que pour avoir des « témoignages », tu peux te lever de bonne heure, quand les autres ne veulent rien faire, car ont besoin de leurs postes, et qu’ils te laissent volontiers subir la tyrannie pour éviter d’être les suivants… ça limite les tentatives… Et quand tu cherches des preuves avec l’inspection du travail et qu’ils sont même pas fichu de trouver la bonne convention collective tellement la société chez qui tu bosses est vieille, limite inconnue au bataillon.. bien à un moment j’ai laissé tomber. Et j’ai subi.

Un cour répit.

Au bout d’un an et demi, une collègue a daigné aller voir le chef pour « témoigner » du harcèlement dont je fus victime si longtemps…

De là, la cheftaine fut destituée et remplacé par l’ancien chef de cette même cheftaine et la société a déménagé dans d’autres bureaux.

L’improbable se produisit

J’ai découvert que la cheftaine harceleuse avait subi bien des misères de la part de son chef à l’époque où elle n’était qu’employée et quand elle fut destitué, c’est lui son ancien chef qui a pris sa place…. et au grand choque de tous, ce vieux monsieur qui était tout gentil au début est redevenu tyrannique dès qu’il a repris la place de « chef ». On en a tous fait les frais, moi encore plus car j’étais dans le même bureau après le déménagement.

La mentalité des gens dans cette société était hallucinante. Ils se sont faits harceler, humilier et j’en passe, et au lieu de ne pas reproduire ce qu’ils ont vécu ; c’est tout l’inverse, en gros les tyrannisés deviennent les tyrans…

Ténacité au détriment de la santé

Quand enfin j’ai pu acheter la maison avec mon chéri, je fus soulagée. Et je me suis dit, c’est bon je peux quitter cet enfer de société.

Sauf que les travaux ont duré en longueur et que (pour ceux ayant suivi les aventures de la maison ICI) on n’y a pas vécu avant quelques années.

J’allais de plus en plus mal

A force de travailler dans un tel environnement, mon état psychique et ma santé en ont pris un coup.

Je suis devenue « méfiante », « soupe au lait » avec mon entourage, la moindre remarque devenait insupportable.

Je me suis renfermée sur moi-même, déjà que je ne sortais pas beaucoup, là je ne sortais plus, je ne faisais que réfléchir à comment agir sans subir les foudres et remarques désobligeante dans ma société.

Mon système intestinal est devenu maboul, j’allais en diarrhée parfois jusqu’à 5 à 6 fois par jours.

Mes migraines me rendait marteau.

J’ai même dû porter des lunettes, car je ne supportais plus la lumière des néons dans mon bureau.

Mon docteur m’avait prescrit du magnésium et des anxiolytiques tellement j’étais à bout de nerfs.

J’ai développé une sorte de toux nerveuse que j’ai encore aujourd’hui, quand je me stresse ou m’énerve, je tousse à m’en décrocher les poumons.

Je ne compte plus le nombre de fois où je pleurais dans ma voiture sur la route du retour, pour évacuer de ma journée et tellement j’avais honte de ma situation.

Quand votre moitié ne vous comprends pas

J’avais le soutien de ma maman et de certaines amies qui me conseiller de prendre mes jambes à mon coup avec cette société….
Bien sûr, tout cela, j’en ai parlé avec mon chéri et là j’ai déchanté….
Certes il voyait les dégâts qu’avait fait la société sur moi, il était devenu inconcevable pour lui que je pars de là, car justement on avait une maison, un crédit etc alors il m’a dit, tu restes, tu verras, ça va passer..

Rien a changé bien au contraire

J’étais dépité, car j’avais littéralement sacrifié ma santé, mon moral pour avoir notre maison, et malgré ça, mon conjoint ne me soutenait pas, pire encore, il repoussait sans cesse le moment de vivre dans la maison.

Mes seuls moment de repits étaient lorsque je partais en déplacement professionnel.

Mais au final, j’avais l’impression de m’être faite avoir des deux côtés.

Quand l’enfer prend fin, un autre prend sa place.

La société qui m’a pourri la vie un bon moment a vu qu’une aide subventionné par l’état était plus intéressante que moi.

En effet, s’il décidait d’embaucher une jeune de moins de 25 en contrat de je ne sais plus quoi, ils toucheraient une aide pendant 2 ou 3 ans car la société avait moins de 10 salariés.

Et bizarrement, une stagiaire est arrivée et comme par hasard il s’agissait de la fille de l’un des grands patron….

J’ai senti le vent tourner

Je me suis dit qu’à tous les coups, j’allais bientôt être remplacé pour x motifs tordu et que cette fille serait embauché….

Ce qui n’a pas loupé, car on m’a sorti des trucs qui n’avaient ni queue ni tête et dont j’ai fait les frais… mais impossible de me défendre… à force, je n’avais même pu envie de me battre, ni de me défendre, ni de me justifier.

Taff, moral, confiance se font la malle.

Après divers péripéties, ils ont réussi a me dire « byby ».
Et bien que j’avais monté un dossier, avec des preuves qui montrer la folie et les agissements tordu et parfois pas très net de la société. Je me suis dégonflée.

Car après avoir discuté avec une représentante de la Loi et d’autres personnes du droit, ils m’ont bien dit que si je poursuivais la société au prud’homme, ça me prendrait beaucoup de temps, sûrement de l’argent et que j’avais intérêt à avoir les nerfs solides.

Plus de force

Ils ont réussi à me décourager, je n’avais plus de force, j’étais arrivé au bout du bout, je voulais juste toucher mes indemnités et tourner la page ; me reconstruire….

J’ai direct enchaîné ailleurs

Je me suis dit qu’il fallait que je remets vite le pieds à l’étrier et travailler dans une autre société.

Ce que j’ai fait en intérim, plusieurs fois et ça, à peine 8 jours après avoir arrêté chez les fous

Quelque chose s’est détraqué en moi

Mais voilà, bien que j’ai toujours voulu rester forte, car je ne voulais pas que la malveillance dans cet société ne me brise ou ne m’atteigne, ce fut très dur.

Et lorsque j’ai travaillé dans d’autres sociétés, même si cela se passé très bien, j’avais toujours cette appréhension, cette peur que l’on me reparle comme un chien ou qu’on ne me cri dessus comme ce fut le cas si longtemps. C’est devenu ma hantise.

Depuis, dès qu’une personne lève le ton à mon égard, je me « braque » et suis direct sur la défensive…

Lorsque je devais repasser des entretiens et faire en sorte de me « vendre » pour avoir un emploi, je me sentais très mal, car je ne pouvais pas parler de cette longue et perturbante expérience du passé, au risque d’être mal vu par l’agence ou la société chez qui je postulais.

En plus, lorsque je postulais pour travailler, étrangement, il s’agissait de mission où le stress était intense ; l’agence prévenait que peu de personnes restés dans x sociétés car les employeurs étaient du genre à s’énerver pour rien, en gros il fallait avoir une gestion du stress importante.

Et franchement, je ne voulais plus ressentir cette pression, cette oppression, se stress, je ne m’en sentais plus la force, j’en avais marre ; pire que ça même j’en avais râle le bol que les employeurs se permettent de crier, de gronder les employés parce qu’eux même sont énervé ou stressé et qu’ils déchargent leurs colère sur les employés et que nous pauvres employés, si on veut bosser, on doit subir sans broncher sinon s’est la porte…

Il fallait une solution

Le vase était plein, je devais trouver une alternative qui me permet de retravailler et de ne plus avoir cette boule en ventre chaque soir en me couchant et chaque matin au réveil.

Je voulais cesser de prendre des anxiolytiques ou tout autres calmants.

Je suis restée au chômage quelques mois et j’ai fait le nécessaire pour que l’on vive dans la maison qu’on avait acheté avec mon conjoint.

J’avais enfin ce que je desirais depuis si longtemps « ma maison » ; mais j’avais toujours cette énorme appréhension à l’idée de retravailler dans une société et je me sentais plus en securité chez moi… sauf qu’il me fallait retravailler…

Là une idée m’est venu.

Comme je n’arrivais plus à me sentir sereine à l’idée de travailler à l’extérieur de chez moi, je me suis dit qu’il serait judicieux de trouver un emploi que je puisse faire de chez moi…

Donc après bien des démarches et papiers administratif, je me suis mis à mon compte et désormais je travaille à mon domicile, depuis 1 ans bientôt.

Plus de patron, plus de stresse avec les horaires, plus de bouchons interminable me faisant rentrer à pas d’heure, plus de repas pris sur le pouce dans ma voiture comme une malheureuse

Pourtant, tout n’a pas été comme je l’aurais voulu

Je me suis fait harceler pendant x années – mais j’ai enfin eu ma maison

Seulement, je ne sais pas si c’est mon caractère qui a changé ou celui de mon conjoint, mais ce n’est pas si « rose » que ce à quoi j’aspirais…

Si ça vous dit d’en savoir plus …. dit-le moi …

Avis sur les sites

Dilemme de l’indécision

Hello la compagnie, Aujourd’hui, je ne vais vous soumettre une question que parfois je qualifierais d’important, pour nous blogueur, blogueuse… bon ok, en tout cas pour moi c’est sûr en ce moment. Je vous explique, j’appel ça le dilemme de l’indécision, car en ce moment c’est ce que je ressens lorsque j’écris sur le blog. Je suis indécise sur le choix du blog. Overblog ou wordpress… dilemme Il faut savoir qu’il y a quelques année, j’ai eu envie d’ouvrir un blog pour parler de mes passions « artistique et culinaire » et puis j’ai étendu mon champ de centre d’intérêt et mon blog a évolué en terme de « thèmes », mais n’y connaissant rien, j’avais beau écrire, j’avais pas beaucoup de visite..ha pauvre de moi…. Bon aussi, je n’étais pas constante, il faut l’avouer, et parfois le blog se sentais seul le pauvre… Mais quand enfin je  suis devenue plus régulière, le blog sur lequel j’étais « overblog » change de version, et là aie aie aie, c’est la catastrophe, je n’y comprenais plus rien, et pire encore lorsque je demandais de l’aide… j’étais tout simplement ignoré… A force j’en ai eu marre et j’ai laissé mon blog à l’abandon…   J’ai décidé de reprendre le chemin de l’écriture il y a à peu près un an…mais voyant mon peu de succès, j’ai tenté un autre blog, celui-ci avec WordPress, le plus simple, celui qui est déjà hébergé et où il ne reste plus qu’à écrire. Ayant déjà élaboré des forums et blog avec des sites d’hébergement, des mises à jour à faire etcc, c’était trop contraignant, et par manque de temps, j’ai donc choisi la facilité, et oui, on est pas tous parfait.   Et là je découvre ce blog WordPress… il semble géniale !! mais en même temps assez complexe, car beaucoup d’anglais, et personnellement, cette langue ne n’aime pas.. perdu     Mais je ne désespère pas, je persévère, je transferts les articles de mon blog overblog, (mais je le conserve, au cas où) et je mets le tout ici sur WordPress. Je galère méchamment avec les thèmes, car je ne vois pas apparaître les commentaires sur mon blog, mais juste dans l’interface.. le design est aléatoire, car il apparaît d’un certaine manière lorsque je le configure dans l’interface, et malgré le fait d’enregistrer mes modifications, le blogs apparaît autrement lorsqu’il est en ligne.. alors j’avais l’impression de tourner chèvre.   Du coup, je cherche de l’aide sur les groupes de face book, mais là encore, je reste dubitative… En effet, on me conseil de prendre un nom de domaine pour faire « plus pro » mais je ne peux pas mettre 100 euros pour un nom de domaine sur Wordpres, c’est trop chère..même pour un an… alors j’aimerais rentabiliser mon blog, mais là encore c’est la galère..comment faire…car pas sûr qu’avec WordPress ce soit possible.. chose qui par contre l’est avec Overblog…   Du coup, me voilà confronté à diverses questions.. devrais-je retourner sur overblog, mais les personnes qui m’étais des commentaires via wordpress ne pourrons plus mettre de commentaire où ne me suivrons pas.. Ici sur wordpress, il y a plein de thème, on peut en changer, c’est sympa, mais par contre, lorsque j’écris un article, je remarque que l’on peut mettre des commentaires sur les « pages » mais on dirait que ce n’est pas le cas sur les articles…   Alors..alors ..alors … que faire … un avis, des idées… je veux bien un coup de pouces…